L’enfant est l’histoire d’un père (Bruno), une mère (Sonia), et leur bébé TRÈS mignon (Jimmy). Tout au long du film, ces trois personnages rencontrent beaucoup de difficultés: Bruno, qui gagne l’argent seulement par commettre des crimes, lutte contre le chômage et la faim dans le film. Sonia, qui est une jeune mère sans des conseils, lutte contre une relation toxique, ainsi que la besogne de prendre soin d’elle-même ET de sa bébé. Et Jimmy, qui a seulement quelques mois, vit à l’intersection entre ces deux personnages accablés — alors il rencontre leurs problèmes aussi.
Pourtant, avant tout, la pauvreté joue le rôle moteur du film: il donne les deux personnages une vulnérabilité qui contrôle leur actions: le crime, l’isolement, et leur relation.
Et elle (la pauvreté) est une boucle horrible: le plus que des personnages commettent des délits, cachent du monde, et causent de grossesses non désirées, le plus qu’ils tombent dans la pauvreté.
Si j’étais dans le film, j’aurais la difficulté d’aider des personnages. Je pense que des problèmes qu’ils rencontrent sont des résultats d’un système qui était conçu à les opprimer. Il est difficile de détruire un système énorme. Mais il est possible: si des gens comme Sonia et Bruno (et Jimmy) reçoivent des éducations excellentes, ils peuvent exiger la boucle malfaisante de la pauvreté et de l’oppression.
Je suis d’accord avec ce que vous dites de les problèmes dans le film créant un cycle. Je pense que a cause de leur situation c’est très difficile pour Sonia + Bruno d'améliorer leur vie, mais s’ils s'évadent ce cycle peut-être ils peuvent. Comme j’ai dit dans mon essaie, s’ils reçoivent une bonne éducation et trouver un bonne travail, je pense qu'ils peuvent s'évader. Mais, maintenant ils n’ont pas informé à ça mode d'évasion et ils continuent simplement avec la vie qu’ils ont toujour vécu.
ReplyDeleteGilbert fait un point precis. La pauvreté et l'oppression toujours touchent les personnes qui vivent entre ces systèmes et leurs décisions, alors c’est assez difficile s'évader. Comme il(Gil) écrit, Sonia et Bruno ont des aspirations différentes et, malheureusement, leur bébé reste entre les deux et leur tension. À mon avis, j'espère que nous pouvons détruire le système de la pauvreté. Les causes sont enracinées dans le système mondiale, qui est programmé de bénéficier les gens plus riches dans notre société. Je suis d’accord avec Gilbert quand il dit qu’il les aiderait à obtenir une éducation. Bien que ce soit une petite chose, il est possible pour le couple d'améliorer leur situation.
ReplyDeleteTrès bien dit, Gilbert! Je suis tout à fait d'accord avec votre point principal, à savoir que le cycle de la pauvreté systémique est vraiment responsable des problèmes rencontrés par le couple et leur fils, plutôt que des décisions individuelles qu'ils prennent, aussi moralement odieuses soient-elles. La mention de la façon dont leur état de pauvreté les rend vulnérables, et que cette vulnérabilité contrôle leur actions, était excellente, et je n'y avais pas vraiment pensé comme ça auparavant. Cependant, je ne suis pas tout à fait d'accord avec votre dernier point--je ne pense pas que l'éducation puisse vraiment faire beaucoup pour arrêter les maux de l'oppression capitaliste des pauvres--Sonia et Bruno en sont très certainement conscients. Aussi difficile que cela puisse être de détruire des systèmes énormes, comme vous l'avez dit, je pense que c'est la seule façon d'avancer.
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