1.
1914 en Europe a fait face au commencement d’un conflit national dans lequel la technologie et la globalisation du monde ont facilité une guerre horrible. Les politiques nationales ont incité des problèmes très difficile à résoudre, et les chefs des pays ont joué tout dans la scène international. Pour la première fois, tout les pays dans les conflits (notablement la France, l’Angleterre/l’Écosse, et l’Allemagne) ont engagé dans une <<guerre totale>> ou la vie de chaque citoyen a dû servir le gouvernement et l’état. Il y avait des tranchées, traversant des rues et quartiers bien connus par les soldats pendant le temps de paix, qui étaient ravagés par toute la destruction. Et ce qui était nouvel c’est que la proximité des soldats était près. Les hommes se sont rendus compte que leur ennemie semblait comme eux-même. Les parties impliqués ont trouvé qu’ils étaient des <<acteurs>>, jouant un jeux comme des pions. Naturellement puisque les armés étaient répandues partout en Europe, des fraternisations ont eu lieu. Le Noël 1914 et Le Pâques 1915 se sont vus des moments de paix au milieu de la violence. Peut-être les fraternisations ont représenté des cris de paix, ou de religion, ou de faiblesse. Même aujourd’hui on ne sait pas complètement pourquoi ces ennemies voudraient désobéir leurs ordres pour trouver la paix. À mon avis, je crois qu’il y a une force universelle pour les êtres humains qui nous relie pendant la douleur et l’obscurité. Elle ne doit pas être spirituelle ou national, mais au lieu, elle vient de notre passé; nos instincts de communauté. Ainsi, les fraternisations de Joyeux Noël sont si émouvant car ils nous font voir le lien souvent oublié dans notre société.
2.
Étant honnête, il me faut dire que j’ai trouvé tout le film extrêmement puissant. Je me sentais ému à partir des premières scénarios, surtout quand je me suis rendu compte que ce film provoquerait (comme d’habitude) des thèmes difficiles sur des sujets touchant. En fait, je crois que les points forts de ce film vient des moments ou Monsieur Carion fait des contrastes entre deux idées concurrentes. Par exemple, je trouvais la discussion entre les deux prêtres très engageant. L’humilité du Palmer (le prêtre qui donne la messe de minuit) était bouleversant, et je me suis senti un peu fâché faisant face à la corruption de l’autre. Mais cette situation m’a fait penser à ce qui était essentiel pour gagner la guerre. L'oppression est interdite aux yeux de l’église, mais que dit-t-il sur l’humanité des soldats allemands? Ce film est très efficace quand il provoque des questions de la moralité. On les voit aussi quand les soldats refusent de tuer l’aide d’Audebert (le lieutenant français), ou bien quand les trois nationalités décident d’enterrer les morts. Les lieutenants combattent les issues de la moralité tout le temps et il y a de nombreuses exemples (les lettres, la messe, etc.). Même Audebert et son père avaient une discussion très puissant. En général le film est très intéressant, et il est assez difficile de trouver ces défauts. Évidemment, il est assez facile de trouver les situations injustes, celles de violence par exemple. Mais ces scénarios sont essentielles pour contredire les fraternisations. On pourrait dire que l’amitié des trois armés a commencé trop vite. Après avoir vu le petit anglais/écossais tenant la tête de son frère, j’étais sûr que sa colère lui aurait fait tuer quelqu’un. Si le directeur avait eu de temps, peut-être une petite fracture de la loyauté, suivi par des réconciliations, aurait été plus réal. Ce n’est pas essentiel, mais pour faire sembler le film plus réal, on aurait eu besoin de plus que la musique pour lier des soldats. À part de cette criticisme, je pense que Joyeux Noël était bien fait avec les personnages complexes, des émotions profondes, et des thèmes qui vous rend indécis. Tout simplement, j’aimais ce film beaucoup, et encore, je me demande quand est-ce que notre civilisation commencera à apprendre de nos méprises.
3.
À mon avis, Christian Carion a bien choisi d’utiliser la musique pendant tout le film, tantôt en arrière des images (comme au début), tantôt dans les scènes complexes qui font parties de l’intrigue. Bien que ce film montre le terreur de la guerre et les tranchées, on voit que la musique fonctionne comme un lien, ou bien un symbole de l’humanité. Personne ne peut nier que les tons des instruments (même venant des ennemies) ont fait penser les soldats de ce qu’ils étaient en train de faire. Ils luttaient une guerre terrible, fondée sur les principales politiques. C’est-à-dire que chaque régiment de chaque pays s’est livré bataille à cause des ordres des autres. Alors, dans ce sens, la musique est naturellement universelle, partagée par tout les personnages et aussi les spectateurs! Au début, les images de la compagne sont accompagnées par la musique très puissant et émouvant qui nous nous fait souvenir de la paix dont la guerre mondiale a détruit. Chez les allemands, la musique joue un rôle très important pour des lieutenants et le Kaiser. Le ténor et la chanteuse, par exemple, sont célèbres; ils étaient invités à la soirée de Noël. Mais dans cette scène on voit la commencement d’un contraste qui dure pendent tout le film. Car il avait dû lutter pour l'allemand, il a du mal à chanter au début. C’est vrai que le champ de bataille ne pouvait pas enlever sa voix de son âme. Au lieu, il lui fallait le cacher au fond de son cœur. Je soutiens que ceci est le grand pêché de cette guerre: elle détruit les parties d’humanité qui empêche les guerres! En entendant le ténor, les anglais/écossais ont répondu avec leurs instruments parce que la musique relie ces gens. Ils se sont souvenus le paix à cause de la musique, et aussi, ils se sont rendus compte que chaque soldat est pareil. De plus, la musique religieuse comme <<Adeste Fidelis>> traverse la barrière de langue. La musique est vraiment la langue universelle qui font un lien entre tous les individus. Alors, la musique joue plusieurs rôles dans Joyeux Noël. Les émotions des spectateurs dépendent à la musique pour indiquer quoi sentir. Les personnages y dépendent pour retrouver leur humanité. En tout cas, la musique contraste les thèmes de la guerre, et comme les allemands dans le train, elle crée l’espoir.
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