1. « Un dico » est un dictionnaire, comme lequel que le narrateur a volé. Il est une personne d’une origine différente que ceux autour de lui dans le banlieue, donc il en avait besoin pour leur parler. Arthur Rimbaud était un poète qui a beaucoup influencé les arts et la littérature, mais on ne doit pas être un tel maitre des mots de comprendre ce que les racistes disent, parce qu’ils le font évident. Il dit qu’il a « la couleur du beur » parce qu’il est Arabe. Quand les gens le regardent, cette couleur est la seule chose qu’ils voient. Il a peur quand il pense aux chances du travail étroites offertes aux immigrants et ceux qui apparaissent différents ; il ne veut pas être identifié comme quelqu’un en servitude. « L’ANPE » est l’Agence Nationale pour l’Emploi, mais le narrateur sait qu’ils ne le donneront pas des aumônes, parce que ses chances sont limitées par le fait que les gens le voient comme un étranger.
2. Dans la première strophe, le narrateur souffre de l’ignorance de ses voisins à la banlieue. Comme j’ai dit, ils le considèrent un étranger, dont « l’appartenance nuit. » Ils le disent de retourner au lieu d’où il est venu, mais il souhait qu’ils comprennent que là, c’est chez lui assez que chez eux.
3. Les deux voix du refrain sont la voix du narrateur contre l’appel des ignorants qui lui disent, « Rentre chez toi ! » Mais le narrateur tache de changer leur avis en revendiquant qu’il y appartiendrait quoique la race avec laquelle il soit né. La voix la plus forte pourrait être celle des voisins, parce qu’elle est répétée avec zèle, mais le message du narrateur est plus puissant et passionné. Sa voix a une raison et une histoire, donc elle est plus convaincante qu’une demande vide.
4. Dans la deuxième strophe, il parle des « promesses volées » des immigrants par les ressortissants. Les étrangers ont « construit de [leurs] mains » tout ce qu’ils ont, en étant promis que s’ils travaillent dur, ils réussiront. Mais pour ceux comme le narrateur, le succès n’est pas aussi simple que ça ; ils donnent tout à leur pays et il ne leur donne rien.
5. À la fin de la chanson, le narrateur montre l’ironie dans la juxtaposition des deux points de vue. Si vous êtes accueilli ou marginalisé dépend sur la couleur de ta peau. La chanson montre comment les gens peuvent former les opinions ferventes sur des choses de complètement arbitraires.
6. D’habitude, je n’aime pas les chansons qui a une idée cachée, quand elle n’est pas bien cachée ! Je veux dire que je n’aime pas quand les gens utilisent la musique pour pousser leurs opinions politiques. Ceci étant dit, j’aime aucune chanson prononcé avec la passion, mais je pense que ce mode pourrait être très efficace. Je crois que vous ne changerez pas l’avis de quelqu’un en se disputant, mais il y a quelque chose d’unique quand il s’agit de la musique. Je pense aux chansons de protestation des années 1960s, qui ont affectés beaucoup de changement, et qui ont encore du pouvoir aujourd’hui.
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