L’Homme qui plantait des arbres s’agit d’un berger qui, par pure bonté de cœur, ravive le
paysage désolé d’une très vieille région des Alpes en plantant des milliers
d’arbres. En traversant ce désert, le narrateur rencontre ce berger, Elzéard
Bouffier, par hasard près d’un village abandonné et entend parler de son métier.
Pendant environ trente ans, le narrateur rend visite à Elzéard et voit la
transformation de la campagne; grâce à la générosité et au travail acharné
d’Elzéard, la campagne devient vivante, avec des arbres, des jardins, des
fleurs et de l’eau, un endroit où on a envie d’habiter. La parabole de l’œuvre
d’Elzéard signifie qu’il y a des gens altruistes dans le monde, qui font attention
au bien-être de la planète. L’histoire montre que, au fond, il y a des aspects
de l’humanité qui sont admirables. Vous nous avez fait lire ce texte parce que
c’est un autre angle de notre étude de l’environnement. Jusqu’à maintenant,
nous avons parlé des effets négatifs de l’humanité sur l’environnement; cette
histoire montre que l’humanité aide la planète. Les gens ne détruisent pas que
l’environnement. J’adore cette nouvelle! Le style est très simple, mais encore
engageant. Elle m’a appris que, avec la persévérance, on peut faire n’importe
quoi. Elzéard plante chaque arbre l’un après l’autre, en savant que sa vie et son
succès est entre les mains de Dieu. Il ne s’inquiète jamais. Il ne se
concentrer que sur son travail; et, au final, il réussit! Donc, cette histoire
est très inspirante.
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