L'Homme qui plantait des arbres

Cette histoire s'agit d'un homme qui faisait une longue course à pied en Provence à des très hautes altitudes où il n'y avait quasiment pas de vie du tout. Après trois jours en route, l'homme se trouvait dans un endroit dans la désolation provençale et il a décidé de s'arrêter près d'un village abandonné. Le lendemain, il a rencontré un berger avec une trentaine de moutons. Le berger a invité l'homme de rester chez lui pour la journée pour qu'il puisse récupérer. En fait, les deux ont développé une bonne relation qui a durée pour un quart d'un siècle. Le berger, qui s'appelait Elzéard Bouffier, plantait des arbres, ce qui servait comme une source de bonheur pour lui. La nouvelle décrit la vingtaine d'années où les deux se sont connus.

Alors, au-delà de l'histoire, je crois qu'Elzéard représente l'espoir pour notre environnement qui, à ce moment, est en train de détériorer. Le berger vivait dans un village où les hommes couper les arbres pour faire du charbon. On sait que le charbon est mauvais pour l'environnement et je crois que c'est le rôle d'Elzéard de montrer à tout le monde que la pollution n'est pas une bataille incapable de gagner. Je crois que vous nous l'aviez fait lire parce que la pollution est un problème qui fait face particulièrement à notre génération et que c'est notre responsabilité de réaliser des solutions pour ce problème grave. La protection de l'environnement est le lien entre nos études à ce moment dans l'année.

Je pense que cette nouvelle est très triste, notamment quand on découvre que la femme et le fils d'Elzéard sont morts. Ça me rend triste aussi parce qu'il mène une vie très solitaire, une vie qu'on peut imaginer n'était pas, au début, dans son image d'une vie idéale. Je sais qu'Elzéard a dit qu'il était très content d'être dans cette position, mais quand même, je ne peux pas totalement y croire. Ça m'a appris de penser aux gens qui n'ont pas une famille et que même une seule personne peut faire une différence.