Tuesday, January 3, 2017

Joyeux Noël


  1. Les événements du film se jouent pendant le premier hiver de la Première Guerre mondiale, un des plus grands conflits militaires qui se sont jamais passés. La guerre était battue entre le Triple-Entente, y compris la France, l’Empire britannique, les États-Unis, et la Russie, et les Empires centraux, y compris l’Allemagne, l’Empire ottoman, et l’Autriche-Hongrie. Ce qui est vraiment intéressant de la guerre est qu’elle n’a pas été déclenché par des grands attentats ou des similaires agressions, mais par un seul assassinat et une toile énorme des alliances et traités politiques.  La haine qu’on voit l'évêque en enseignant aux officiers écossais dans le film n’était pas vraiment justifiée. L’autre chose emblématique de la Grande Guerre est les longues tranchées creusées par les deux côtés au front de l’Ouest, surtout en France. C’est la souffrance insupportable que les soldats ont vécues dans ses tranchées, ne séparées que par six mètres seulement, qui les ont inspirés d’entrer en contact avec l’un et l’autre. Les fraternisations, qui avait été lieu de Noël 1914 à Pâques 1915, ont inspirées à tour de rôle l’action du film, Joyeux Noël.
  2. À mon avis, les points forts de ce film sont ceux qui nous rappellent de la juxtaposition absurde qui vient de l’amitié entre les soldats et la réalité froide et terrible de la guerre. Ce sont des moments comme celui où Jonathan tue Ponchel et le discours de l’évêque, où on se rende compte tout un coup que ce n’est pas un autre film à l’eau de rose. Si les événements avaient tous été sentimentals, on aurait pu oublier le message essentiel du film: la guerre est malfaisant, et elle ne devrait jamais se passer. De la même façon, j’ai beaucoup aimé le personnage joué par Daniel Brühl, le lieutenant Horstmayer. Il me semblait le plus intéressant à cause de ses gros conflits d’intérêts. Il est juif– alors il ne peut pas compatir avec l’esprit de Noël aussi facilement que les autres– et sa femme est française. J’ai aimé voir son épreuve de concilier ses responsabilités comme lieutenant et ses responsabilités comme humain être. De l’autre côté, j’ai trouvé que les défauts du film sont rares. La seule chose– j’aurais mieux aimé le film s’ils avaient mis plus de contenu à la fin, pour nous montrer ce qui s’est arrivé aux personnages après que les généraux ont découvert les fraternisations. J’espère que Horstmeyer et Audebert se retrouvent un jour à Paris, s’il tous les deux survivent la guerre.
  3. Dans Joyeux Noël, la musique sert à un type de colle, qui réunit les Allemands, les Français, et les Écossais. Le premier moment où ils se rassemblent est celui où ils chantent ‘Adeste Fideles’ ensemble, une chanson mondiale, que tout le monde connaît. La musique traverse les langues et les pays, alors c’est un moyen parfait pour connecter les soldats et les aider à surmonter la barrière de la guerre. Christian Carion utilise de la musique presque céleste, qui augment l’idée qui ce qui se passe avec les fraternisations est incroyable. De plus, s’il n’avait pas de musique dans le film, Diane Kruger ne pourrait pas avoir un rôle, donc il me semble que la musique, c’était un point fort.

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