- La première guerre mondiale était une qui a perdu une génération d’hommes, et a causé l’horreur étendu, et les morts de tas des soldats. Ceux qui avaient la chance de revenir souffraient de PTSD et d’une désillusion très grande et forte et avaient du mal à vivre encore dans la société, comme les gens qu’ils étaient avant de la guerre. Ils étaient hantés par les horreurs des tranchées et leur capacité de tuer tant d’homme sans une pensée avec la mitrailleuse dans leur main. C’était une guerre des luttes, de la déshumanisation, et des miracles. Dans ce front de l’ouest, entre la France et l’Allemagne, les soldats ont luttés dans les grandes tranchées. A cause du style de la guerre--une guerre de tranchée--et l’innovation des mitrailleuses, chaque fois que les soldats d’une équipe montaient les tranchées pour avancer à l’ennemi, ils étaient tous abattagés. Il est devenu impossible d’avoir l’avancement conséquent. Les deux côtés étaient dans l’impasse. Tous les soldats sur tous les équipes étaient épuisés par la guerre et les meurtres, alors quand il était Noël, un miracle c’est passé et les allemands et les français ont eu un cessez-le-feu le vingt quatre Decembre, et pour Noël, ils ont eu un match de foot dans la neige. Après ce jour, ils ont recommencé les affrontments.
- A mon avis, un point fort est l’utilisation des points-de-vus différents; l’histoire est racontée de la perspective des français, des allemands, et des britanniques, en offrant un film de la première guerre qui est uniquement pas sur l’équipe des français ou des allemands mais sur l’équipe du soldat et de l’humanité. Avec cette neutralité dans le film, on ne peut pas dire que les allemands sont malfaisants ou que les français sont les méchants; plutot qu’avec les parallèles et la nature de l’histoire de ce Noël, on voit que tous les humains et tous les soldats sont le même et les vrais méchants sont ceux qui ordonne les soldats à continuer à tuer. De plus, un autre point fort c’est le costume et la cinématographie du film. Moi, j’adore les drames, et j’adore mieux les films d’époques, alors j’ai apprecié beaucoup ce film. Les costumes et les accessoires étaient très beaux et réalistiques, et j’ai aussi aimé le “look” du film, ou le travail du directeur de la photographie. J’ai aimé comment il y avait plusieurs de caractère principaux, parce qu’il était plus intéressants de résoudre et assembler chaque profil de personnage. Sans un clair protagoniste, c’était comme un puzzle qu’on a hâte de résoudre. La seule chose du film que j’ai trouvé un peu déficiente ce sont les cas dont le manager a pris un peu trop de permis créatif et a fait des situations impossibles qui étaient presque folles. Par exemple, comment est-ce qu’il peut avoir une femme au front, et qui est entrée dans le front? De plus, ce n’est pas très réalistique de montrer les soldats en ayant des choses comme le chocolat ou le champagne quand nous avons appris que les soldats dans les tranchées ont souffert beaucoup, spécifiquement du froid et du faim, jusqu’à-ce qu’ils mangeaient des corps de temps en temps. Bien sûr, c’est impossible d’avoir un film qui est complètement prècis historiquement, mais dans ce cas, où la vérité elle-même (le cessez-le-feu et le match de foot) est presque incroyable, la présence des erreurs évidemment improbables menace la crédibilité et l’intégrité d’histoire, surtout pour eux qui ne l’a connaissent pas déjà.
- La musique, c’est un autre façon de la communication; elle peut communiquer des choses entre les personnages et les spectateurs, et entre les gens dans le film qui ne parlent pas la même langue. D’abord, le manager utilise la musique pour exprimer facilement et clairement des émotions et des sentiments très puissants, complexes, et ou influents. Spécifiquement dans les moments où personne ne parle, la musique aide à illustrer l’état émotif des personnages, par exemple comme le désespoir du pasteur avant la fumée des bougies quand les deux garçons courent vers la guerre, et la grande, grande peur du lieutenant français dans la cabane immédiatement avant qu’il doit retourner aux tranchées pour un attaque. La musique aussi décrit l’atmosphère que le manager désire; dans la scène ou le lieutenant français et ses camarades préparent d’avancer, la musique intensifie pour que nous les spectateurs puissions sentir ce qu’ils sentent. De plus, dans le cessez-le-feu, la musique est utilisée comme un emblème de la paix, de l’unité, et d’espoir. Ce sont les clairons des britanniques et le chanson d’allemand qui finissent, temporairement, la guerre affreuse; c’est la musique qui rassemblent les soldats sur tous les équipes et leur rappelent de leur humanité, leur compassion, et leur capacité de faire le bien. Dans ce cas la musique aussi servit comme une forme de communication qui transcende les frontières des langues, les frontières de la propagande, et les frontières de la haine.
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