1. En janvier, deux frères ont attaqué Charlie Hebdo parce qu’il s’est moqué leur religion. Ils ont tué douze personnes et en ont blessé onze. Au 13 novembre, il y a eu une séries d’attentats à Paris, mais l’une le plus bouleversante, c’est l’attentat au Bataclan, où presque une cent personnes ont été tués.
2. Les deux premiers vers font référence à tous ceux qui étaient tués dans les attentats de Charlie Hebdo et au 13 novembre, en commençant avec une référence à une amie. C’est la victime spécifique dont le poète parle. Dans le premier vers, il dit qu’on va tous chanter pour cette amie. Mais dans le deuxième vers, il commence à parler de tous ceux qui s’étaient affectés par les attentats de 2015. Il finit les deux vers avec le phrase <<main dans la main>> et il nous montre que chaque personne s’entend avec les autres personnes quand quelque chose comme un attentat se passe.
3. Cette chanson est touchante pour moi parce qu’elle amène beaucoup de personnes ensemble, et c’est très puissant. Elle parle de <<tous>> dans un groupe de personnes. Elle parle de tout le monde main dans la main. C’est génial. Ça me donne la foi que quelques personnes sont bonnes, et qu’ils peuvent lutter contre la haine. La musique aide la puissance du poème. La chanson est dans un ton mineur, alors elle semble très chaleureuse. Il y a un grand orchestre, qui peut ressembler le monde main dans la main. Les enfants qui chante <<Ahhh, ahhh>> derrières de la voix de Louane sont très touchant et puissant aussi. Tous ces choses me rend très triste et très chaleureuse, mais ils me donnent de l’espoir et de la foi aussi, parce que on pourra détruire le mal si on essaie de le détruire.
4. À l'amie qui est tombée,
Une chanson sur les lèvres,
Ensemble nous chanterons,
Main dans la main.
Une chanson sur les lèvres,
Ensemble nous chanterons,
Main dans la main.
Pour tous ceux qui sont tombés,
Pour tous ceux qui ont pleuré,
Ensemble nous resterons,
Main dans la main.
Pour tous ceux qui ont pleuré,
Ensemble nous resterons,
Main dans la main.
Pour Paris, ses quais, sa brume,
La plage sous ses pavés,
La brise qui fait danser
Ses feuilles mortes.
La plage sous ses pavés,
La brise qui fait danser
Ses feuilles mortes.
Paris, ses flâneurs, ses ombres,
Ses amoureux qui roucoulent,
Ses bancs publics, ses platanes,
Ses feuilles mortes.
Ses amoureux qui roucoulent,
Ses bancs publics, ses platanes,
Ses feuilles mortes.
Paris qui s'éveille à l'aube,
Deux cafés noirs en terrasse,
Un jardinier qui moissonne
Ses feuilles mortes.
Deux cafés noirs en terrasse,
Un jardinier qui moissonne
Ses feuilles mortes.
À ceux qui se sont battus
Pour que Paris reste libre,
Que Paris reste Paris,
La tête haute.
Pour que Paris reste libre,
Que Paris reste Paris,
La tête haute.
Nous reprendrons les accents
Des aînés qui ne sont plus.
Leurs mots au milieu des nôtres,
Nous chanterons.
Des aînés qui ne sont plus.
Leurs mots au milieu des nôtres,
Nous chanterons.
Quand quelqu’un attaque plus qu’une personne, et il attaque un endroit, il attaque aussi les valeurs de cet endroit. Quand il tue ou essaie de tuer beaucoup de personnes, il n’attaque que ces personnes-là. Il attaque les valeurs de ces personnes, les valeurs de leurs villes, et les valeurs de leurs pays.
5. Oui, je reconnais le ligne <<Non, je ne regrette rien.>> C’est une chanson d’Édith Piaf.
6. Aux hommes qui sont venus
Des quatre coins de la terre,
Dans l'unique espoir de vivre
La tête haute.
Des quatre coins de la terre,
Dans l'unique espoir de vivre
La tête haute.
Aux femmes qui ont subi,
Humiliations et violences,
Pour avoir osé garder
La tête haute.
Humiliations et violences,
Pour avoir osé garder
La tête haute.
Pour tous ceux qui sont tombés,
Pour tous ceux qui ont pleuré,
Ensemble nous resterons,
Main dans la main.
Pour tous ceux qui ont pleuré,
Ensemble nous resterons,
Main dans la main.
7. Au d’abord, quand j’ai commencé à comprendre ce qui est un attentat et ce que ça veut dire, je me demanderais ce qui s’est passé et pourquoi quelqu’un ferait-il quelque chose comme ça. Mais il y avait eu beaucoup d’attentats, trop d’attentats. Je devenais fatiguée. Et maintenant, je ne veux pas savoir ce qui s’est passé. C’est trop triste. Je ne veux pas avoir peur ou être triste. Je dois vivre ma vie, et je ne peux pas avoir peur. Je dois avoir la foi de l’humanité. Je dois croire que quelques personnes sont des bonnes personnes. Pour éviter ces attentats, on doit faire plus de lois pour contrôler les armes. Les armes sont important aux quelques parties de ce pays, mais il est important aussi de savoir que la personne qui les achète est sain d’esprit et qu’il n’est pas un criminel.