Friday, August 30, 2013

L'enfant


L’enfant traite d’une multitude de maux sociaux tels que la pauvreté,la criminalité, le chômage et la grossesse adolescente. N’empêche, à mon avis le film doit être vu en filigrane comme une critique à la culture de consommation dominante. Toute la souffrance et les supplices par lesquels Bruno fait passer sa copine se lient de quelque façon à des ennuis financiers. La chasse à l’argent et une fascination pour tout ce qu’il peut acquérir font en sorte que Bruno néglige ses responsabilités en qualité de père et compagnon de vie. Dans notre société l’argent équivaut le pouvoir d’achat, lequel, à son tour, se traduit dans une meilleure qualité de vie. Donné ce fait, une prudente administration des biens est nécessaire pour une vie heureuse. Avant tout, l’argent doit être utilisé pour obtenir les premières nécessités, comme la nourriture et le logement. Bruno claque tous ses épargnes sur des choses inutiles ne donnant de la satisfaction qu’à très court terme, ce qui ne laisse pas de quoi payer un toit sur la tête. Le couple se trouve donc obligé à déménager à un abri dilapidé fait de toutes pièces. Leur constante instabilité financière met Bruno sur la mauvaise pente, celle qui le porte à vendre son propre enfant avec la justification de ce qu’ils peuvent “en faire un autre.” Dans cette phrase se trouve l’essence de la culture de consommation. Consommer c’est l’acte de faire inutilisable, puisqu’un objet ayant été consommé ne sert plus à rien. Quand on fait de ses propres enfants des objets à qui il ne faut pas montrer de la tendresse et qui sont  aussi jetables comme une boîte à bière, on ne les valorise plus et la dynamique familière est au risque. Dans notre société il y a un conflit consternant entre les gens et les choses, quand les choses prennent le dessus sur les gens la tragédie ne tardera pas à arriver, ça c’est la morale de L’enfant.

Wednesday, August 28, 2013

Voilà mon chirbit.

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Saturday, August 24, 2013


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Monday, August 19, 2013

Essai #2


La morale de l’histoire de “l’Enfant” est que l’emploi est indispensable pour mener une vie confortable. Bruno est au chômage et sans abri. Au lieu de chercher travail, il mendie au coin de la rue. Il participe au crime en volant des trucs et les vendant. Sonia, sa copine, l’aime malgré son manque d’ambition. Tout les deux sont immatures - Sonia est quasiment un ado. Ils ont fait un bebe, Jimmy, mais Bruno n’est pas présent à l’accouchement. On voit souvent qu’il est insensible et impulsif. Par exemple, il sous-loue l'appartement de Sonia quand elle est à l'hôpital, et n’en garde rien pour elle. Il toujours gaspille son argent en achetant des truc chers comme sa veste et le décapotable. Il ne sauve rien; il dit qu’il “trouve” l’argent alors il ne fait pas l'économie.  Le jour suivant, il vend Jimmy au marché noire pendant que Sonia fait la queue en attendant l’allocation. Il dit qu’il pensait qu’on ferais un autre, mais Sonia fait une dépression nerveuse et elle est admis à l’hôpital. Bruno rend Jimmy et il pense que Sonia le pardonnera. Cependant, il n’est pas tellement facile de regagner la confiance de sa petite amie. 

Le problème avec Bruno est sa paresse. Il s’attend à ce que la vie soit très facile et il n’envisage pas les conséquences a long terme de ses décisions. Il n’est pas évident qu’il est capable d’amour ou non. Il dit à Sonia qu’il a besoin d’elle et qu’il l’aime, suivi d’une demande d’argent. Sonia et Bruno ont évidement besoin de l’aide, mais Bruno est tellement têtu, il ne peut pas accepter qu’il en a besoin alors il est désarmé et nul. 


Sunday, August 18, 2013

Essai #3


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Saturday, August 17, 2013

Essai 3


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Friday, August 16, 2013

L'Enfant Essai #3


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Tuesday, August 13, 2013

Essai #3


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Monday, August 5, 2013

Essai #2

L’Enfant raconte les vies de Bruno et Sonia, un couple avec leur bébé Jimmy qui souffrent du chômage, de l’itinérance, et de la participation au crime. En face d’un avenir difficile, les adolescents changent beaucoup dans le procède du film. Au début, Sonia croit naïvement que Bruno ne veut que s’occuper du bébé. Bruno pense sur leur état économique, alors il vend Jimmy. Après avoir le vendu, Bruno montre l’argent a Sonia et lui fait fou. Bruno retourne Jimmy à Sonia, et même s’il continue à voler quelque choses et il suis malhonnête quelque temps, nous regardons son transformation; Bruno devient le « père » d’un petit voleur, pour que le voleur ne soit pas prisonnier. Bruno remet l’argent au fric, avoue ses crimes, et pense pour le futur de ce garçon. Sonia rencontre avec lui en comprenant la complexité du situation de la pauvreté, car le moment que Bruno ne pense pas sur leur argent, il est prisonnier. Que pouvons-nous faire pour les aider? Rien. Si nous devenons altruistes et ne suivons pas la vie « immoral » de Bruno, nous ne pourrons jamais survivre. Nous serons « prisonniers » de la société. Ça, c’est la mal paradoxe insoluble de notre monde courant.          

Sunday, August 4, 2013

Essai 2

Le film L’Enfant explore quelques problèmes de la société moderne. Sonia est une jeune fille, qui a peut-être dix-huit ans. Son petit ami, Bruno, lui a fait un enfant qui s’appelle Jimmy. Bien que Sonia comprenne que Bruno a « un esprit inquiet », elle est amoureuse de lui. Après la naissance,  elle semble jeune, naïve – elle ne peut pas aider son fils, et elle n’arrive pas à contrôler Bruno. C’est une situation typique pour une grossesse d’adolescents. Il est probable que la mère est pauvre, au chômage, et sans expérience de la vie. Ils peuvent devenir des sans-abris, et quand Bruno loue leur appartement la situation devient pire.

Bruno est un personnage complexe qui a beaucoup de défauts. Bruno est chômeur, sans-abri, et il a commis des délits pour qu’il puisse manger. Malgré ces circonstances défavorables, Bruno ne veut pas changer. Il ne veut pas travailler, et il achète des choses chères sans penser. Bruno est comme un enfant, bien qu’il ait une passion pour Sonia, il n’a pas la capacité de l’aimer. Si Bruno aimait Sonia, il n’aurait pas vendu son bébé. Même s’il connaît la différence  entre le bien et le mal il ne peut pas faire face aux conséquences. Si j’étais dans l’histoire, je recommanderais à Sonia de quitter Bruno. C’est le choix le plus salutaire pour elle - si Bruno ne veut pas travailler et gagner de  l’argent, ils continueront à vivre dans la pauvreté.
 
 

Saturday, August 3, 2013

Essai 2

Les problèmes qui sont représentés dans le film L’Enfant sont ceux de trop de gens autour du monde. En étant chômeurs, Bruno et Sonia, un jeune couple, doivent vivre des vies qui sont remplies de pauvreté, de crime, de faim, et de absence de domicile. Bruno gagne de l’argent en volant des trucs et les vendant, mais vraiment pas assez pour subvenir aux besoins de Sonia après avoir accouché leur fils, Jimmy. Au lieu d’assumer la responsabilité de sa famille, Bruno reste irréfléchi en continuant ses transactions dans le marché noir, et il montre peu d’intérêt pour Jimmy. Encore qu’il claque de l’argent sur des choses superflues comme un cabriolet et des boissons, il refuse de payer pour un infirmier pour le bébé.  Jeune, désespéré, et hâtif, Bruno commet une grande erreur en vendant Jimmy et de ce fait Sonia le quitte. Si j’étais Sonia, je ferais ça beaucoup plus tôt ; elle aurait pu trouver un boulot et devenir indépendante afin que Jimmy soit bien élevé. De même, quand Bruno n’est plus en taule, il devrait mettre de côté son style de vie précaire de sorte que Sonia puisse lui faire confiance. Si les deux avaient pris leurs vies au sérieux et avaient laissé derrière leur puérilité, ils auraient mené leurs vies plus facilement.


Essai #2

Le film L’Enfant montre la multitude de maux qui tourmente notre société et comment ils peuvent nous provoquer de faire des choses désespérés. Le film raconte les vies de Sonia et Bruno, un jeune couple qui vivent au jour le jour dans la pauvreté. Sans abri et sans emploi, les deux SDF trouvent refuge n’importe où et avec l’accouchement  de leur fils Jimmy, ils s’efforcent de gagner leurs vies. En vendant des trucs volés, Bruno mène une vie dépendent de crime pour gagner de l’argent maigre. Bruno aurait dû faire un effort d’améliorer ses conditions de vie et subvenir aux besoins de sa famille par trouver un vrai boulot, mais au lieu de penser à long terme il a fait une erreur désespérée en vendant son fils Jimmy sans que Sonia le sache. Il risquait sa relation avec Sonia et la sécurité de son fils pour quelle raison ? Le fric ! Bien que Bruno soit un criminel et un copain déloyal, Sonia est aussi en faute ;  si j’étais Sonia, je prendrais mon destin dans mes mains pour éviter la pauvreté à vie. Les problèmes que Sonia et Bruno affrontent sont difficiles à vaincre, mais tout est possible si on tâche de changer son mode de vie.   

Friday, August 2, 2013

Essai #2


Les problèmes exprimés dans l’Enfant montrent l’importance de l’emploi pour évitant la pauvreté. Le film suit deux jeunes SDF qui trouvent de l’abri n’importe où ils peuvent, qu’ils restent dans un dortoir ou une appartement d’un ami. Car Bruno n’est pas un « planqué, » il gagne sa vie en trouvant un peu de l’argent ici, un peu là ; il ramasse ses moyens en mendiant et en vendant les trucs volés. Même si leurs problèmes sont difficiles à contrôler, il semble que Bruno et Sonia les ont crées pour eux-mêmes. Nous ne savons pas s’ils sont nés dans la pauvreté, mais ils ne font pas assez pour améliorer leur situation. Bruno mène une vie malhonnête, en pariant et en se mélangeant avec des types véreux. Il paraît que Sonia soit la victime des méfaits de Bruno, mais elle toujours avait un choix ; sa vie ne l’a pas choisie (sans doute, la grossesse des adolescents est évitable). Elle montre sa vraie puissance tout en quittant Bruno, prenant le premier pas à s’échapper sa situation. Si j’étais à leur place, je tâcherais de trouver un boulot et mener une vie plus honnête. Même si vendant Jimmy gagnerait de l’argent et les permettrait de faire les économies, cette action serait une solution temporaire d’une situation compliqué, et compromettrais leur intégrité, comme tout le « travail » de Bruno. Le chômage est un cycle très difficile à briser, mais leur situation était empirée par leurs décisions, pas leur destin.

Thursday, August 1, 2013

Essai #1


En discutant les différences entre l'époque des enfances et années d'adolescence de mes parents et celles de la mienne, il est trop facile de penser tout de suite de l'avancement technologique. Mes parents grandissaient sans les portables ni l’internet alors ils comptaient sur les personnes et les livres à leur enseigner tout. Aujourd’hui, ce n’est pas le cas. On peut atteindre tout qu’on peut vouloir savoir avec un petit portable. Quoique ce soit une grande différence entre la vie de mes parents et la mienne, les différences les plus pertinents sont les aspects de la vie qui sont détruits par l’internet. Un exemple est l'idée de la solitude. L’internet nous permet d’être connectés avec nos amis vingt-quatre heures chaque journée, sept jours chaque semaine. Autrefois, on ne savait pas où se trouvent ses amis à chaque moment parce qu’on ne pouvait pas envoyer des textos ni rafraîchir “Twitter” ni “Facebook” ni les autres modes de réseautage social. Si quelque chose génial se passait pendant le weekend, par exemple, mes parents auraient besoin d’attendre l’arrivée de lundi pour raconter l’histoire avec ses amis. Aujourd’hui, je sais qu’est-ce qui se passe dans les maisons de mes amis tout de suite parce qu’il est très facile de contacter tous les personnes qu’on connait très rapidement. Le bon vieux temps, les affaires personnelles restaient plus privées qu’aujourd’hui parce qu’il était plus difficile de communiquer instantanément. 

En plus, la technologie nous permet de faire plus d’activités chaque jour, alors il nous reste moins temps libres. En grandissant, mes parents jouaient dehors sans les activités structurées. Mon père jouait avec les équipes des sports avec son lycée, mais quand il était plus jeune il jouait des sports non structurés chaque jour avec ses amis. D’un autre côté, je ne jouais pas dehors avec autant insouciance parce qu’on est aujourd’hui plus prudent avec la sécurité des enfants et aussi parce que je n’avais pas beaucoup de temps libre entre mon école primaire, mes devoirs, mes leçons du piano, entrainement du sport, et cetera. 

En général,  les enfances de mes parents étaient plus simples et il y’avait moins de soucis. Ma mère est aussi allée à Wheeler  et elle dit qu’elle avait moins heures de devoirs que nous avons aujourd’hui. Quand mon père a été admis à l'université de Yale,   l’admission était moins compétitive qu’aujourd’hui. Dans l’ensemble, j’imagine que la vie pendant la génération avant la mienne était plus simple et facile et lent que la mienne, bien que la technologie ait été censé faciliter la vie.