Sunday, January 5, 2014

Joyeux Noël (Sherry)

Le Noël de 1914 était un tournant pour tous les gens engagés dans la Première Guerre Mondiale. À ce point, les soldats avaient été dits qu’ils verraient leurs familles bientôt, et quand ils sont allés à la guerre, ils ont été promis directement qu’ils serraient encore chez eux d’ici à Noël. Cependant, pendant que le 25ième de décembre a approché, il deviendrait de plus en plus apparent que les ennemis étaient trop entrainés dans le conflit des tranchées de pouvoir tenir cette promesse. Donc, à la veille de Noël, un miracle s’est passé quand les Allemands ont proposé une trêve temporaire de recueillir leur humanité. La brutalité et la longueur de la guerre avaient surpris le monde, rendant cette pause nécessaire pour prouver que la désillusion ne prendrait pas tous ce qu’ils avaient jamais eu.

La force du film se trouve dans la façon dont il invoque les sentiments humains essentiels. Il joue avec nos émotions en montrant les lignes fines entre la vie et la mort, la joie et la tristesse. Comme la guerre prouve, tous les bonnes choses sont brèves, et peuvent être enlevées aussi vite qu’elles sont données. Les soldats avaient été dits qu’ils avaient une mission divine, ils croyaient qu’ils battaient pour un but, une pensée essentielle au moral, et la mentalité de la guerre mettrait le groupe avant l’individu, augmentant la camaraderie et la loyauté. Mais après un point, le fardeau dans l’esprit est devenu trop, quoiqu’ils se soient dits. Je pense que c’est un film très puissant et clairement rendu, dont la seule faiblesse est que ses plusieurs intrigues (et langues) risquent de confondre. Mais je pense que même cette caractéristique est nécessaire pour montrer l’universalité des sentiments qui touchent les gens aux temps durs.

Carion utilise la musique dans une façon avec laquelle je m’identifie, en montrant sa puissance de sauver l’esprit. Le film confirme le pouvoir de notre humanité et volonté, dans lequel la musique joue un grand rôle : quand elle joue, elle joue avec nos émotions. Les hommes avaient besoin de quelque chose qui ait pu les conforter, parce que personne ne pouvait se nier jusqu’à ce qu’il devienne une machine. Carion assigne à la musique un importance même plus grand que la guerre : le bonheur de l’homme. Pour les soldats, la musique est l’embrasse d’une mère, pour les chanteurs, la musique est un appel de leur prochain, et pour les pays, la musique est une confirmation que la paix est possible.

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