Sunday, August 7, 2016

Essais Deux--Les Problèmes Sociaux

Le problème sociaux posé dans le film, c’est quand on est pauvre, jeune, et pas préparé, c’est très difficile de s’occuper d’un enfant et de survivre. Pour tout le monde, c’est un défis de se débrouiller un bébé aux premiers jours, mais pour les gens comme Sonia et Bruno (qui sont au chômage, à sec, et sans abri), leur épreuve--c’est sur un complètement différement niveau. Les gens comme eux ramènent à sécurer les éléments essentiels en plus d’étant responsables pour un autre vie. Sans travail, ils sont sans revenu, alors pour joindre les deux bouts Bruno doit vendre leurs choses et doit faire les activités illégals--croissant ses chances d’étant mis en prison. De plus, il faut qu’ils restent chez une maison communale car ils n’ont plus d’appartement.

Si j’étais dans le film, je pense que la seule chose que je pourrais faire pour les aider, c’est de leur conseiller de penser à ce qui est vraiment meilleur pour Jimmy. Jimmy a sa tout entier vie devant lui, et si Sonia et Bruno ne peuvent pas fournir une bonne vie avec l’occasion pour lui maintenant, peut-être c’est dans l’intérêt de Jimmy qu’ils le lâchent.

2 comments:

  1. Je suis d'accord avec vous au sujet de Jimmy. Sonia et Jimmy n'ont pas les ressources nécessaires pour soutenir leur enfant. Je pense que ça serait mieux pour toute la famille si Jimmy soit confier en adoption. Cependant, cela doit être fait par des moyens légaux avec le consentement des deux parents.

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  2. Oui, je suis d'accord avec vos idées, Chloé. Je pense aussi que c'est particulièrement difficile de s'occuper de Jimmy pour eux dans leur situation. Je pense que, s'ils voudraient créer une bonne vie pour Jimmy, ils doivent quitter les crimes, apprendre des compétences, et trouver des travails. Sinon, c'est probablement meilleur pour Jimmy s'ils le lâchent, comme tu dis, mais seulement si ils peut le donner à un bon maison. Le grand problème est un manque d'éducation et de l'aide sociale, mais c'est peut-être trop tard pour Jimmy.

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