Les problèmes qui sont révélés dans le film L’enfant, comme le cycle de pauvreté, les effets de l’incarcération des pères sur les familles, et la grossesse des adolescents, offrent des commentaires intéressants sur les défauts de notre société capitaliste. Bruno et Sonia doivent naviguer un mond qui donne la priorité à l’argent, et encore pire, ils n’ont pas de travail. Pour survivre et aider sa copine, Bruno est préparé à faire n’importe quoi, même vendre son nouveau-né. Malheureusement, comme il est encore immature et égoïste (il est encore jeune, peut-être un adolescent), il n’est pas près à accepter les conséquences de ses actions. Après que Sonia a découvert ce qu’il avait fait, elle a appelé la police. Bruno a finalement rendu le bébé à sa mère inquiétée, mais pas avant de faire ennemis avec un group de criminels dangereux. À la fin du film, Bruno n’arrive pas à changer et à s’échapper du cycle de pauvreté; il a été arrêté parce-qu’il a volé le sac d’une vieille dame. Ce cycle-ci existe dans les vies de Sonia et Bruno parce-qu’ils n’ont pas de source d’argent stable (comme un travail), alors ils ne peuvent jamais faire des projets pour leurs futures. Si j’étais dans l’histoire de Sonia et Bruno, j’essayerais de mettre le couple en relation avec des ressource scolaire pour qu’ils puissent obtenir un éducation et gagner accès à plus de métiers. Je ne peux pas savoir si je pourrais éviter leur situation parce-que je ne suis pas née dans le cycle de pauvreté, alors j’ai eu un éducation et des privilèges qu’ils n’ont pas.
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À la fin du paragraphe d'Isabelle, elle fait un bon point. Nous pouvons commenter sur les vies de Sonia et Bruno, et nous pouvons dire ce que nous ferions dans leur situation, mais nous ne serons jamais savoir ce que c'est que d'être dans cette situation. Tous les élèves à Wheeler ont des privilèges différents, mais nous sont tous privilegiés d'avoir une bonne education. Sonia et Bruno n'ont pas ce privilège et à cause de ça ils deviennent prisonniers de la pauvrété. Il est facile de critique Bruno pour ses erreurs (et bien sûr il faut qu'il prenne la responsibilité pour ses actions), mais Bruno a pensé que la crime était sa seule option. Il est important que nous tenions la société responsible pour les problèmes forcés sur les individuals dans la pauvrété. Merci Isabelle pour m'aider voir cette perspective!
ReplyDeleteJ'ai adoré lire cette paragraphe d'Isabelle. Le monde est une collection de cycles, comme Isabelle a observé. Il est très très difficile (et, quelquefois, impossible), de détruire ou exiger un cycle. Chaque parte d'un cycle renforce des autres partes du cycle, alors on doit démonter l'intégralité du cycle en même temps. Très chic, Isabelle!
ReplyDeleteJe suis d’accord avec Isabelle parce que le cycle de pauvreté est presque inévitable. Les problèmes de pauvreté sont systémique, alors je ne sais pas quoi faire. Aussi, je suis née avec les privilèges et je ne sais pas les difficultés que Sonia et Bruno ont.
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