1. Cette chanson parle des victimes des camps de concentrations Nazis de la Seconde Guerre mondiale. Dans les paroles, il dit, “Ils étaient des milliers, nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés.” Cette une image des gens qui allaient aux camps de concentrations. Quand Ferrat chante, “ils se croyaient des hommes, n’étaient plus que des nombres,” il s’agit de comment les allemands ont traité ces victimes pas comme des humains, mes comme seulement des “choses” qu’on peut compter. Dans la chanson, il dit que les autres gens lui ont dit de ne pas chanter de cette tragédie, qu’il “vaut mieux ne chanter que des chansons d’amour.” Alors, ces paroles nous montrent comment c’est un événement très sensible pour les gens, et comment ils ne veulent pas “entrer dans l’histoire.”
2. Les “dés” sont des “dice.” Alors, quand il dit, leurs dés avaient été jetés, il est comme leurs sorts ou destins avaient été déjà décidés sans consulter eux. Ils sont destinés pour la mort.
3. Dans le vers 22, le “vous” est le public qui ne veut pas parler de cette tragédie, qui se taire, et qui préférerait de l’oublier complètement. Le narrateur n’aime pas et ne comprend pas pourquoi ils veulent oublier cette partie de l’histoire, même si c’est très triste, parce qu’il pense qu’il est meilleur de le souvenir, “pour qu’un jour les enfants sachent qui vous étiez.”
4. Quand le narrateur dit, “votre chair,” le “votre” n’est pas le même qu’au vers 22. Le votre ici sont les gens qui osent de parler de cette tragédie, et quand ils disent des choses que les “policiers” ou la société en général n’aime pas, ils vous attaquent, comme les chiens policiers qui veulent vous taiser.
5. Une réponse est de l’oublier complètement, de réfuser de cette événement historique parce qu’il est trop difficile de le souvenir et on voudrait ignorer la douleur au lieu de l’améliorer. L’autre réponse est de parler de cette événement même si c’est douloureux parce qu’on doit commémorer les victimes et en souvenant l’histoire, on découvre son identité. En parlant de cette événement et en souvenir la douleur, on sait comment l’éviter à l’avenir. Le devoir du narrateur est de souvenir, de “twister” les mots et de raconter cette histoire pour que les gens puissent savoir qui leurs ancestres étaient.
6. La première et la dernière strophe sont Presque les mêmes choses, mais dans la dernière strophe, il dit “vous” au lieu de “ils.” En utilisant “ils,” la première strophe est moins personelle parce qu’on a le sens qu’il parle des autres gens, pas nous. Mais, dans la dernière strophe, quand il dit “vous,” il est très personelle. Il n’est pas seulement comme nous racontons une histoire, mais nous vivons l’histoire nous-même. J’aime comment il utiliser “vous” dans la dernière strophe, parce qu’il souligne comment l’histoire s’applique a tout le monde. Même si l’événement a passé, il a une incidence sur tout le monde parce que ce n’est pas seulement le présent qui est important—l’histoire forme notre identité aussi.
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