Thursday, January 3, 2013

Joyeux Noel



1.  Ce film se déroule en 1914 pendant la première guerre mondiale sur la première ligne, dans les tranchées. Les écossais et les français ont lutté contre les allemands pendant ce temps dans plusieurs batailles affreuses qui ont causé beaucoup de morts et blessés des deux côtés.  La vie dans les tranchées était abominable. Il y avait des coups de feu continuels, et du feu de mitrailleuse. La misère était augmentée par les ravages de nature, en incluant la pluie, la neige, et le froid. Beaucoup de tranchées—surtout ceux à l'ouest—étaient submergées continuellement, exposant les soldats à la gelure et à d’autres maladies.  Ce film montre un vrai événement qui a offert l'espoir de la paix dans un temps sombre et sinistre. 

La trêve spontanée a commencé la Veille de Noël. Les deux côtés avaient reçu des paquets de Noël. Les allemands ont fait le premier mouvement quand ils ont donné un gâteau de chocolat à la ligne de Grande-Bretagne avec une note qui a proposé un cessez-le-feu pour que les allemands puissent avoir un concert. Les Britanniques ont accepté la proposition et ils ont offert du tabac aux allemands. Peu après les soldats ennemis ont chanté ensemble, et se sont rencontrés au milieu pour parler, jouer au foot, et échanger des cadeaux.  Par conséquent, les officiels avec plus de puissance (sur les deux côtés) étaient fâchés et ils ont ordonné aux soldats d'arrêter fraterniser.

2.    En général j'ai vraiment aimé ce film. À mon avis, les bonnes qualités ont plus d’influence que les défauts sans doute.  Mais s’il faut que je le critique un petit peu, je dirais qu’il était un peu difficile à croire que tous les lieutenants étaient du même avis quant à la situation de la trêve. Il me semble qu’il y aurait eu plus de personnes (sauf le frère écossais) qui étaient contre la fraternisation avec l'ennemi. Autrement, j'ai aimé le personnage de Palmer parce qu’il représente la quintessence d'une figure religieuse, celui qui lutte pour la paix et l'unité. J'ai trouvé le contraste entre lui et l'évêque écossais, qui a parlé du meurtre de chaque allemand, très intéressant. J'ai aussi aimé le rapport entre Audebert et Horstmayer. Bien qu’il soit peut-être un peu exagéré, il a affiché l'idée que les humains sont les humains malgré leur ethnie.

Une de mes scènes préférées est quand le père d'Audebert est venu après avoir appris de la trêve. J'ai pensé que ce moment a montré le but du film: que les gens à l'extérieur ne comprennent jamais la situation entière. Ils ont une vue simple de la guerre qui ne compare jamais à celle de ceux à l'intérieur. Ils ne comprennent pas que la guerre n'est pas toujours seulement noir sur blanc. Audebert explique qu'il a le dégoût pour les gens qui parlent du sacrifice, mais qui ne savent rien de la lutte immense.

3.  Ce film affiche le but principal de la musique : réunir les gens. Elle est une force d'union. J’ai trouve la scène, quand le ténor allemand a commencé à chanter «Douce Nuit» et ensuite le joueur de cornemuse écossais l’a rejoint, très puissante. Il était comme s'ils avaient laissé toute la haine et la laideur de la guerre d’ailleurs.  Les soldats étaient unis par la musique. Cette scène a montré la grande bravoure du chanteur allemand quand il est parti la tranchée, et s'est exposé à l'autre côté. Carion utilise la musique très uniquement, dans une façon qui est presque céleste.  La scène finale est surtout puissante à mon avis, quand le train a quitté pour aller au « front de l'est » et les allemands ont fredonné la chanson qu’ils ont apprise de l'écossais.

No comments:

Post a Comment