1. Ce film se
déroule en 1914 pendant la première guerre mondiale sur la première ligne, dans les tranchées. Les écossais et les français ont lutté contre les allemands
pendant ce temps dans plusieurs batailles affreuses qui ont causé beaucoup de
morts et blessés des deux côtés. La
vie dans les tranchées était abominable. Il y avait des coups de feu
continuels, et du feu de mitrailleuse. La misère était augmentée par les
ravages de nature, en incluant la pluie, la neige, et le froid. Beaucoup de
tranchées—surtout ceux à l'ouest—étaient submergées continuellement, exposant
les soldats à la gelure et à d’autres maladies. Ce film montre un vrai événement qui a offert l'espoir de la
paix dans un temps sombre et sinistre.
La trêve
spontanée a commencé la Veille de Noël. Les deux côtés avaient reçu des paquets
de Noël. Les allemands ont fait le premier mouvement quand ils ont donné un
gâteau de chocolat à la ligne de Grande-Bretagne avec une note qui a proposé un
cessez-le-feu pour que les allemands puissent avoir un concert. Les
Britanniques ont accepté la proposition et ils ont offert du tabac aux
allemands. Peu après les soldats ennemis ont chanté ensemble, et se sont
rencontrés au milieu pour parler, jouer au foot, et échanger des cadeaux. Par conséquent, les officiels avec plus
de puissance (sur les deux côtés) étaient fâchés et ils ont ordonné aux soldats
d'arrêter fraterniser.
2. En général j'ai
vraiment aimé ce film. À mon avis, les bonnes qualités ont plus d’influence que
les défauts sans doute. Mais s’il
faut que je le critique un petit peu, je dirais qu’il était un peu difficile à
croire que tous les lieutenants étaient du même avis quant à la situation de la
trêve. Il me semble qu’il y aurait eu plus de personnes (sauf le frère
écossais) qui étaient contre la fraternisation avec l'ennemi. Autrement, j'ai
aimé le personnage de Palmer parce qu’il représente la quintessence d'une
figure religieuse, celui qui lutte pour la paix et l'unité. J'ai trouvé le
contraste entre lui et l'évêque écossais, qui a parlé du meurtre de chaque
allemand, très intéressant. J'ai aussi aimé le rapport entre Audebert et
Horstmayer. Bien qu’il soit peut-être un peu exagéré, il a affiché l'idée que
les humains sont les humains malgré leur ethnie.
Une de mes scènes
préférées est quand le père d'Audebert est venu après avoir appris de la trêve.
J'ai pensé que ce moment a montré le but du film: que les gens à l'extérieur ne
comprennent jamais la situation entière. Ils ont une vue simple de la guerre
qui ne compare jamais à celle de ceux à l'intérieur. Ils ne comprennent pas que
la guerre n'est pas toujours seulement noir sur blanc. Audebert explique qu'il
a le dégoût pour les gens qui parlent du sacrifice, mais qui ne savent rien de
la lutte immense.
3. Ce film affiche le but principal de la musique : réunir les gens. Elle est
une force d'union. J’ai trouve la scène, quand le ténor allemand a commencé à
chanter «Douce Nuit» et ensuite le joueur de cornemuse écossais l’a rejoint,
très puissante. Il était comme s'ils avaient laissé toute la haine et la
laideur de la guerre d’ailleurs.
Les soldats étaient unis par la musique. Cette scène a montré la grande
bravoure du chanteur allemand quand il est parti la tranchée, et s'est exposé à
l'autre côté. Carion utilise la musique très uniquement, dans une façon qui est
presque céleste. La scène finale est
surtout puissante à mon avis, quand le train a quitté pour aller au « front
de l'est » et les allemands ont fredonné la chanson qu’ils ont apprise de
l'écossais.
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