Sunday, January 6, 2013

Joyeux Noel

1. Entre 1914 et 1918, un des plus grandes actions d’inhumanité d’histoire du monde est passée en Europe. La première guerre mondiale (encore appelée « La Grange Guerre, » bien qu’il y aie eu des autres plus mauvaises) existait sur la frontière de deux ères : les idées de Guerre Totale créés dans la guerre civile américaine, les nouvelles technologies de mort, mais pas les stratégies de protection de la deuxième guerre mondiale. Simplement, la première guerre mondiale était une des périodes les plus horribles pour des soldats simples. Proche du Noël de 1914, sur les lignes entre les armées, les trêves spontanéistes sont apparus entre les Anglaises, les Allemands, et, plus rarement, les Françaises. Les soldats étaient fatigués après avoir survit en les tranchées, et ils cherchaient un moment de paix. 2. Joyeux Noël était un film intéressant pour moi. J’aime beaucoup les films historiques, le plus réaliste, le mieux. Je suis heureux que personne ait décidé de faire un film des trêves de Noël, une histoire touchante qui n’est pas assez raconté. J’ai aimé les éléments historiques, surtout la capacité de metteur-en-scène pour montrer des nombreuses histoires dans un seul événement. J’aime le choix de mettre au point un officier de chaque armée. La chose que j’ai trouvé étrange était le choix d’utiliser le personnage juif-allemand. Bien que j’aime toujours voir le perspectif juif, il me semble qu’il fallait vraiment utiliser cette partie d’histoire, ou la laisser tomber. Les questions troublantes de l’avenir pour l’officier (surtout sa scène finale avec le symbolisme du train) n’ont pas vraiment des réponses. 3. La musique a un rôle central dans le film Joyeux Noël. Deux des personnages premiers sont des chanteurs d’opéra, et l’histoire reste sur leur décision de chanter pour les soldats. La communication entre les soldats commence avec des chansons de Noël qu’ils tous savons (bien qu’ils soient en des langues diverses). Les instruments sont biens symboliques de leur nations : l’harmonica allemand, et le cornemuse écossais. Pour la France, il n’y a pas un vrai instrument. La France a simplement le réveil, qui est connecté directement à la tragédie des vies françaises écrasées sous la force de la guerre. De la musique lui-meme, je l'ai aimé beaucoup. Surtout l'opéra était formidable, et j'aime toujours le cornemuse.

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