À la Journée de la Femme de l’année
dernière, Marion
Larat a été élue la « Femme de l’Année. » Après avoir écrit un livre,
La pilule est amère, qui révèle les risques de la pilule, elle était considérée une
militante pour les droits féminins. Il est bon qu’on ait lutté à illuminer les
problèmes actuels qui font face aux femmes. Mais surtout récemment, il semble
que plus de gens se mobilisent pour le féminisme, parce que les droits de la femme
ont gagné beaucoup d’attention. Je n’oublierai jamais le moment où Mme Lau nous
a demandés de lever nos mains si nous nous considérions des féministes, et nous
a rappelés que le féminisme n’est pas aussi extrême que les fanatiques le font.
La réalité est que, quand il s’agit de la santé, on ne peut pas être trop
extrême—il y a certaines choses qu’on a le droit de savoir. Ceci étant dit, il n’y
avait que quelques années, parlant de quelque chose aussi privée que la
contraception dans un contexte publique aurait été inouï. C’est comme la
liberté du choix dont on parle en discutant l’avortement : c’est l’éducation
pour le grand public, pas justement pour les femmes. Cette façon de penser est donc
très égalitaire, parce qu’elle rend les « problèmes féminins » universels,
les luttes contre lesquels tout le monde doit se battre ensemble.
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