« Un dico » est l’abréviation pour
un dictionnaire que le narrateur a volé parce qu’il veut mieux comprendre les
gens autour de lui dans la banlieue. Arthur Rimbaud était un poète français,
donc quand le narrateur dit qu’il « pas besoin d’être Rimbaud », il
essaie de dire qu’il ne doit pas être un poète ou un écrivain pour comprendre
que les commentaires de ces sont
racistes. Le narrateur décrit sa peau comme « la couleur du beur »
parce qu’il est arabe, et, malheureusement, quand les autres gens voient cette
couleur, ils ne pensent que des stéréotypes et des préjugés. « l’ANPE »
est l’Agence Nationale pour l’Emploi et le narrateur craint que même cette
agence ne puisse pas lui aider à trouver un boulot parce qu’il est un étranger.
Dans la première strophe, le narrateur souffre du racisme et des préjugés qui l’entourent
simplement à cause de la couleur de sa peau. Il se sent qu’il n’a pas une place
ou une voix dans cette société mais bien qu’il pense à retourner à son patrie
de temps en temps, il se rappelle qu’il à les mêmes droits que les autres. Il espère
que ses voisins pourront accepter que la France est chez-soi malgré les façons
avec lesquels il est venu. Les deux voix du refrain sont celle du narrateur est
celle de ses voisins ignorants et racistes qui lui disent « Rentre chez
toi ! ». Le narrateur revendique qu’on peut être blanc, noir, jaune,
rouge, etc., mais qu’importe la couleur de sa peau la France devrait être chez-soi. En étant interrompu
par les mots xénophobes « Rentre chez toi ! », la voix plus
forte est celle des gens intolérants, et à
la fin du refrain, le narrateur se sent obligé à dire « De tout manières,
ici c’est chez toi ! ». Les « promesses
volées » dont le narrateur parle dans la deuxième strophe sont les
promesses données aux immigrées pour leur font pensés qu’ils seront riches,
acceptés,
et contents après avoir immigré.
La réalité
est qu’il ne sera jamais facile pour les étrangers de commencer une vie stable
et d’assimiler dans un nouveau pays et une nouvelle culture. L’ironie de la fin
de la chanson est qu’il y a ces deux voix juxtaposés qui disent « Rentre
chez toi ! » et « Bienvenue chez toi ! ». En faisant
cette l’ironie, le narrateur montre que même si les français veulent penser qu’ils
ne sont pas des xénophobes ou des racistes, il y a toujours des personnes qui
ne sont pas tolérants parmi les
personnes ouverts esprits. J’aime ce style de chanson engagée pour illuminer la
bêtise du racisme et la xénophobie. La plupart de temps, je pense que ce soit
une façon efficace de faire changer les mentalités, mais cette chanson m’a laissé avec l’idée que les
personnes intolérantes gagneront et qu’ils ont la voix la plus forte, et je n’aimais
pas ça. Dans l’ensemble, je pense que la passion du narrateur rend la chanson très
efficace.
Wednesday, March 5, 2014
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