Wednesday, March 5, 2014

Ridan Sara

« Un dico » est l’abréviation pour un dictionnaire que le narrateur a volé parce qu’il veut mieux comprendre les gens autour de lui dans la banlieue. Arthur Rimbaud était un poète français, donc quand le narrateur dit qu’il « pas besoin d’être Rimbaud », il essaie de dire qu’il ne doit pas être un poète ou un écrivain pour comprendre que les commentaires de ces  sont racistes. Le narrateur décrit sa peau comme « la couleur du beur » parce qu’il est arabe, et, malheureusement, quand les autres gens voient cette couleur, ils ne pensent que des stéréotypes et des préjugés. « l’ANPE » est l’Agence Nationale pour l’Emploi et le narrateur craint que même cette agence ne puisse pas lui aider à trouver un boulot parce qu’il est un étranger. Dans la première strophe, le narrateur souffre du racisme et des préjugés qui l’entourent simplement à cause de la couleur de sa peau. Il se sent qu’il n’a pas une place ou une voix dans cette société mais bien qu’il pense à retourner à son patrie de temps en temps, il se rappelle qu’il à les mêmes droits que les autres. Il espère que ses voisins pourront accepter que la France est chez-soi malgré les façons avec lesquels il est venu. Les deux voix du refrain sont celle du narrateur est celle de ses voisins ignorants et racistes qui lui disent « Rentre chez toi ! ». Le narrateur revendique qu’on peut être blanc, noir, jaune, rouge, etc., mais qu’importe la couleur de sa peau  la France devrait être chez-soi. En étant interrompu par les mots xénophobes « Rentre chez toi ! », la voix plus forte est celle des gens intolérants, et à  la fin du refrain, le narrateur se sent obligé à dire « De tout manières, ici c’est chez toi ! ».  Les « promesses volées » dont le narrateur parle dans la deuxième strophe sont les promesses données aux immigrées pour leur font pensés qu’ils seront riches, acceptés, et contents après avoir immigré. La réalité est qu’il ne sera jamais facile pour les étrangers de commencer une vie stable et d’assimiler dans un nouveau pays et une nouvelle culture. L’ironie de la fin de la chanson est qu’il y a ces deux voix juxtaposés qui disent « Rentre chez toi ! » et « Bienvenue chez toi ! ». En faisant cette l’ironie, le narrateur montre que même si les français veulent penser qu’ils ne sont pas des xénophobes ou des racistes, il y a toujours des personnes qui ne sont pas tolérants parmi  les personnes ouverts esprits. J’aime ce style de chanson engagée pour illuminer la bêtise du racisme et la xénophobie. La plupart de temps, je pense que ce soit une façon efficace de faire changer les mentalités, mais  cette chanson m’a laissé avec l’idée que les personnes intolérantes gagneront et qu’ils ont la voix la plus forte, et je n’aimais pas ça. Dans l’ensemble, je pense que la passion du narrateur rend la chanson très efficace.  

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