Nuit et Brouillard

1. De qui parle la chanson? Justifie ta réponse.
Ça parle des camps de concentrations et les juifs qui y habitaient. C’est clair quand on voit les photos des juifs dans leurs uniformes. Mais sans le vidéo, on peut le savoir parce que la chanson parle des Allemands et des cheins policiers. On parle aussi des Dieux différents à qui on prie alors on sait que ce sont des personnes qui sont punis pour leur choix de réligion.

2. Explique le vers 6, "Depuis longtemps leurs des avaient été jetés"
Ici on parle de la fin des juifs comme c’était décidé avant qu’ils soient nés. Quand on est né, les dés était jeté, et après ça on ne pouvait pas changer leur fin.

3. Dans la 6e strophe qui commence par "Les Allemands...", qui est le "vous" qu'évoque le poète au vers 22? Quel reproche sous-entendu le narrateur fait-il a ses interlocuteurs, "vous"?
Le « vous » est la population des personnes qui savaient que les juifs souffraient mais qui n’ont pas faire quelque chose. Comme le génocide des Darfour, c’était une chose dont on ne parlait pas, alors ce n’était pas un vrai problème si on ne parlait pas de ça. On choisissait d’être tait et d’ignorer le problème.

4. Au vers 24, "votre chair", le narrateur parle-t-il aux mêmes personnes? Explique le vers.
Ce n’est pas le même vous ici. Ici, le poète dit que dès qu’on regardait dehors, en voyant les gendarmes, leur chair était « tendre à leur chiens policiers. » Alors il veut montrer que les personnes des ces camps étaient tellement vulnérables.

5. Dans les strophes 7 et 8, quelles sont les deux réponses possibles a la tragédie? Quel est le devoir du poète/chanteur?
Le devoir du poète c’est de chanter de ces victimes avant qu’elles soient oubliées. Il avait le choix de chanter des chansons d’amour comme tous les autres, mais il a décidé l’autre choix de faire savoir l’histoire de cette tragédie.

6. Compare la première et la dernière strophe. Quelles sont les différences? Quelles sont les ressemblances? Pourquoi?
Dans la première strophe, il dit « ils », mais dans la dernière il dit « vous ». Pendant la chanson, Ferrat essayait de montrer que quand on ignore les horreurs, c’est facile de dire « ils », parce qu’on n’est pas une victime. Mais après avoir montré qu’on est responsable parce qu’on n’a rien dit, c’est notre sang aussi, alors il parle à nous.